J’aime mieux quand je suis chez maman…

C’est dur sur un cœur de père ces mots-là, surtout quand ils sortent de la bouche de l’Héritier. En même temps, j’avoue que je suis content qu’il les ait finalement sortis ces mots-là. J’ai l’impression que l’Héritier est comme son père. Il ne veut pas déplaire et il le fait parfois à son détriment. Il a un grand cœur, mais a tendance à ne pas toujours partager son malheur et ses moments d’angoisse.

On a eu une grosse discussion cette semaine par rapport à la vie de famille en temps partagé de l’Héritier. Je pense sincèrement qu’il ne comprend pas que sa vie de famille est maintenant scindée en deux et que des gens qu’il aime et qui s’intéressaient auparavant à ce qui se passait dans la vie de sa maman ne les intéressent plus autant. J’ai donc dû m’asseoir avec lui pour lui expliquer, tant bien que mal, avec qui ils pouvaient discuter de certains sujets.

Vous auriez vu son visage à ce moment-là… Il a tout simplement craqué. Il y avait plus d’un an de sentiments accumulés, refoulés dans cette peine qu’il m’a remise en plein visage. Il s’ennuie de son ancienne maison, il s’ennuie de voir son père et sa mère ensemble, il a peur que d’autres personnes prennent SA place spéciale dans le cœur de ses parents, il aimerait que les choses soient comme avant. Je l’ai simplement pris dans mes bras, je lui ai dit à quel point je le comprenais, mais aussi à quel point il était important de regarder devant maintenant. Tout ce beau monde que j’avais construit pour lui auparavant il sera différent dorénavant. Je lui ai promis qu’on la rendrait aussi heureuse qu’avant sa nouvelle vie avec papa. Je lui ai expliqué qu’il était chanceux parce que sa famille s’agrandissait rapidement et qu’un tas de nouvelles personnes l’aimaient beaucoup maintenant.

C’est une des meilleures discussions qu’on a eues ensemble en 8 ans. Une discussion difficile, mais vraiment révélatrice. Je pense que l’Héritier a eu beaucoup de difficulté à me parler du comment il l’a vécu la séparation. Je ne pense pas lui avoir nécessairement facilité la tâche non plus. Je n’avais pas le goût, le cœur et le courage d’en discuter avec lui.

Nous sommes sortis à l’extérieur hier soir pour attendre que la mère de l’Héritier le récupère chez moi. On a commencé à jouer au soccer avec des « motons » de neige glacée. Et là, tout d’un coup, il me dit : « J’aime mieux quand je suis chez maman… Je ne voulais pas te le dire pour ne pas te faire de peine ». J’ai donc fait ce que je devais faire correctement ce coup-ci. Je lui ai dit : « Assis-toi ici, on va en jaser mon homme… »

Partiellement vôtre,

Papa à temps partiel

On se roule un joint?

Je souhaite commencer ce texte en mentionnant que je ne fais pas la promotion de la marijuana. Je ne cultive pas de marijuana. Je n’encourage pas la consommation et je ne suis pas un consommateur de la substance, qui jadis, fût illicite. En ai-je déjà consommé? Certaines photos de mes années à l’école secondaire et au CÉGEP pourraient vous donner un début de réponse. Tout ce que je dirai à ce point-ci c’est que je suis heureux d’avoir vécu mon adolescence à l’abri des médias sociaux. Le sujet de la légalisation m’oriente plutôt vers le rôle que l’on doit jouer en tant que parents.

Ce qui est, est!

Bon… le « pot » est légal. « Deal with it! ». On pourra se plaindre jusqu’à la fin des temps que la légalisation est pire qu’une éclosion de peste bubonique. On peut même affirmer que la plante finira par éradiquer toute une génération de jeunes et brillants cerveaux (permettez-moi d’en douter). J’ai un scoop pour vous! C’est probablement plus facile de se procurer un gramme de marijuana ou quelques pilules à 5$ dans un parc ou une cour d’école que de s’acheter un « six-pack » au dépanneur pour une personne mineure. Ce n’est pas parce que ça devient légal que vos jeunes n’y auraient pas été exposés. Je vous suggère de profiter de la situation, qui est favorable, pour faire de l’éducation et aborder sur le sujet avec vos jeunes plutôt que de vous acharner sur une situation à laquelle vous ne pourrez rien changer.

On le fait avec l’alcool, non?! « Consommez avec modération a bien meilleur goût ». Pendant les festivités de Noël ou les réunions de famille l’été, on initie nos jeunes de 15 ou 16 ans à l’alcool. Certains parents achètent de l’alcool à leurs ados. On donne la permission à nos jeunes de découvrir les effets d’une bière ou d’une coupe de vin. On leur explique que sa consommation est plaisante en petite quantité. On profite aussi de ces occasions pour leur expliquer que l’alcool et la conduite automobile ne font pas bon ménage. Les conséquences peuvent être graves. On peut perdre son permis de conduire, faire de la prison, avoir un dossier criminel ou même avoir un accident mortel lorsque l’on conduit avec les facultés affaiblies. Pourquoi est-on aussi permissif avec une substance qui est tout aussi néfaste, dangereuse et lourde de conséquences que la marijuana?

Lorsque l’Héritier intègrera l’école secondaire, je vais prendre le temps de m’asseoir avec lui et de lui expliquer les effets que la consommation d’alcool et de marijuana peuvent avoir. Je vais même l’inviter à faire ses propres choix en lui expliquant les conséquences auxquelles il pourrait être confronté s’il choisit de consommer ces substances. Il n’aura pas l’âge de se les procurer légalement et je ne lui en faciliterai pas l’accès non plus. Pourtant, directement ou indirectement, il y sera confronté et arrivera à s’en procurer s’il le souhaite. La seule chose que je pourrai contrôler à ce moment-là sera l’éducation que j’aurai offerte sur le sujet à l’Héritier.

La légalisation est avantageuse

Des problèmes sociaux il en existe une panoplie. L’alcoolisme, le tabagisme, le jeu pathologique ou la toxicomanie sont quelques exemples rapides qui viennent en tête. Pourtant, personne ne milite activement pour faire fermer la Régie de l’alcool des courses et des jeux et la rendre illégale.

La lutte contre la drogue est, à mon avis, perdue d’avance. Nos gouvernements ne parviendront jamais à injecter suffisamment d’argent pour espérer battre le marché noir et illicite. Les frais de juridisation représentent deux milliards (2 000 000 000$!!!!) de dollars par année pour 60 000 cas de possessions au Canada (source : https://www.ledevoir.com/politique/canada/469794/la-marijuana-en-chiffres).

En légalisant la marijuana, on peut mettre en place des campagnes de consommation responsable du type « Gèle-toi avec modération ». Les gens la consomment déjà massivement et dans une proportion équivalente à l’alcool. Ce genre de campagne a-t-il des effets bénéfiques à long terme? Je n’ai pas fait de recherches exhaustives, mais je pense que les campagnes de sensibilisation à la consommation d’alcool au volant, le port de la ceinture de sécurité en voiture ou sur la vitesse au volant ont porté fruit au cours des années. Pourquoi est-ce que ça ne fonctionnerait pas avec la marijuana?

Finalement, j’aime mieux que les revenus de la vente et la taxation associés à la légalisation finissent dans les coffres de l’État plutôt que dans les mains du crime organisé. Il faut quand même se l’avouer.

Partiellement vôtre,

Papa à temps partiel

La gestion du changement à 8 ans

J’avoue que j’ai énormément de difficulté à me placer dans la peau d’un enfant de 8 ans. Vous direz que je suis indigne si vous voulez, mais les obstacles que l’Héritier peut rencontrer dans sa vie me semblent parfois futiles et sans grandes conséquences. C’est relativement difficile de faire l’exercice de me placer dans sa tête et de comprendre sa perception des choses. Il s’exprime bien, il a un superbe vocabulaire et dégage beaucoup d’assurance, mais dernièrement je le sens fragile et déstabilisé. En lui posant des questions il dit se sentir bien. En observant les comportements qu’il adopte dernièrement, j’ai des doutes.

La vie nous envoie souvent des « balles courbe » : un changement d’emploi forcé, un déménagement non voulu, des conflits qui éclatent, des personnes qui sortent de votre vie. Elle nous réserve parfois de belles surprises : un nouvel amour, une promotion, de nouveaux amis. Je pense que les personnes qui s’en sortent le mieux sont celles qui s’adaptent facilement aux changements. Vous savez ces personnes qui peuvent entrevoir le changement comme une bonne chose, une opportunité.

Tout ça, c’est bien quand tu as (40) 39 ans et que tu es un adulte responsable de ta vie. Comment vis-tu ça quand tu as 8 ans? Personne ne t’a vraiment expliqué la gestion du changement. Tu n’as aucun outil pour t’aider à voir le côté ensoleillé des choses. Soudainement, je me suis rappelé comment tu gères le changement à 8 ans. Tu ne le gères pas, tu le subis. Tu subis la vie des adultes qui t’entourent. On l’oublie… On est content des évènements heureux qui nous arrivent. On est content d’avoir quelqu’un de nouveau et hautement significatif dans notre vie. On est heureux d’avoir décroché le nouveau boulot qui nous force à déménager. On pense que tout le monde dans notre vie, incluant les enfants, seront heureux aussi.

Quand j’avais l’âge de l’Héritier, j’ai déménagé 3 fois au courant de mon parcours scolaire élémentaire. J’ai suivi la famille. Je n’avais pas le choix. À chaque déménagement j’ai senti le sol se dérober sous mes pieds. Mon monde que je croyais stable de nouveau s’effondrait. Je devais recommencer la nouvelle classe, les nouveaux amis, les nouveaux professeurs et un nouveau voisinage. Je pense que l’Héritier a vécu quelques-unes de ces déceptions depuis un an.

En même temps, ces changements, on fait de moi la personne que je suis aujourd’hui. Je n’ai pas peur du changement et je m’adapte bien aux nouvelles situations. J’ai quelques difficultés à m’attacher facilement aux gens qui m’entourent, mais quand c’est fait, c’est pour longtemps.

En gros, je pense que la situation actuelle et les comportements de révolte de l’Héritier sont normaux. Je pense que je peux garder une discipline assez serrée pour les jours à venir, lui offrir une routine aussi stable que possible pour les jours d’école et lui offrir une écoute plus grande que d’habitude. J’ai toujours été du genre à regarder les choses avec une vision globale, à long terme.

Je n’ai pas si mal fini…

Partiellement vôtre,

Papa à temps partiel

Même pas peur

Voilà quelques mots qui m’ont bien fait rigoler (merci à Fabi, mon ancienne collègue), mais que je me suis efforcé d’appliquer depuis les dernières semaines.  À l’aube de la quarantaine, j’ai décidé de vivre à fond, d’emmerder ceux qui ne m’aiment pas, d’accueillir ceux qui veulent de moi et de ne plus endurer la vie, mais de la vivre. Suite à quelques rencontres faites au hasard cet été, je tiens à m’excuser de ne pas avoir pris le temps d’écrire depuis trois semaines. J’ai été particulièrement occupé, mais j’ai négligé mon lectorat. Je vais préparer du matériel en avance pour les prochaines vacances à venir.

Un nouveau boulot

La dernière fois que j’ai écrit, j’expliquais que mon avenir professionnel se déplaçait dans l’univers de la petite enfance. Je reste dans le domaine de la finance, des prévisions financières et de la planification. La gestion des ressources humaines s’ajoute à mes responsabilités. Ma patronne est hyperactive. Les prochaines années s’annoncent mouvementées et j’en suis heureux. J’avais besoin de nouveaux défis professionnels.

Pas de vacances

Je n’ai pas eu l’opportunité de prendre de vacances cette année pour toutes sortes de bonne et de mauvaises raisons. Financièrement, c’était difficile cette année. J’ai trouvé ça un peu pénible de regarder L’Héritier s’amuser avec tout le monde, sauf moi, cet été. On ne s’est pas beaucoup vu au courant du mois d’août puisque la mère de l’Héritier l’a amené en chalet, à Foresta Lumina, et autres destinations que plusieurs semaines de vacances rendent possibles.

Je n’ai pas voulu imposer un été pénible à L’Héritier. J’ai été un peu mou avec lui en août. Il me disait souvent qu’il ne voulait pas rester chez moi, qu’il voulait aller chez sa mère. Je l’ai laissé faire pendant un p’tit bout de temps. Je me disais que je ne voulais pas lui imposer quelque chose. Je me disais que puisqu’il passait ses journées chez sa mère il pouvait aussi bien y passer ses nuits aussi. J’ai joué au papa fort pendant un bout.

Ça me crevait le cœur dans le fond. On s’est toujours bien entendu et l’on a toujours eu du plaisir l’Héritier et moi. J’ai l’impression que le brassage des derniers mois a été difficile pour lui aussi et qu’il m’en veut un peu d’avoir chamboulé son monde. Par contre, ce n’est pas en lui permettant de s’éloigner sous de fausses excuses que je vais ressouder les liens. J’ai donc « imposé » à l’Héritier de passer ses soirées et ses matinées avec moi tout en lui permettant de passer ses journées chez sa mère s’il le souhaitait. Je suis convaincu que c’était la décision à prendre.

Fini le vapotage

Je suis allé me chercher des timbres de nicotine il y a deux semaines pour m’aider à cesser de vapoter. Je n’ai pas ouvert un paquet de timbres encore et j’ai arrêté « à sec ». Ma vapoteuse est entre bonnes mains, ce qui aide à avoir de la volonté. Je l’ai remise à une personne digne de confiance qui ne me la remettra sous aucune circonstance, même la torture. Ça me coûte une fortune en menthe Excel, je suis légèrement irritable, mais je tiens le coup. Le plus dur est fait!

Fabriquer du bonheur

Les dernières semaines m’ont apporté plus de bonheur que les 5 dernières ne l’ont faite. J’ai un bel appart, j’ai un fils heureux, je travaille à 250 mètres de la maison et je fréquente des gens qui m’aiment et que j’aime aussi. Je pense que je suis sur mon « X » dans tous les aspects de ma vie. L’amour et la reconnaissance sont au rendez-vous. Professionnellement, je me sens stimulé et financièrement je ne suis pas riche, mais je vis confortablement et simplement. Je parle de fabriquer du bonheur puisqu’il a fallu que j’y fournisse un effort pour y arriver. Faire des sacrifices, travailler sur ma confiance en moi et prendre des risques calculés pour y arriver.

Revenu Canada

Si vous connaissez quelqu’un qui travaille à l’Agence du revenu du Canada (ARC), pourriez-vous lui demander quels sont les délais de traitement pour émettre un remboursement d’impôts de moins de 2 000$ et l’avis de cotisation qui va avec? Surtout quand le contribuable en question a soumis son rapport avant la date limite? En attendant, je vais téléphoner pour la quatrième fois demain pour faire « escalader » ma demande à un « niveau supérieur » de la hiérarchie incompréhensible de l’ARC

Partiellement vôtre,

Papa à temps partiel

 

L’importance du « me time »

Je n’avais pas réalisé à quel point je m’étais perdu au cours des dernières années et des derniers mois. Comme tout le monde je me suis enfoncé dans une routine familiale, une machine bien rodée et huilée qui fonctionnait par habitude et partage de tâches. « C’est de même  parce que c’est de même, pis c’est ben correct… ». C’est un peu pour cette  raison que j’ai pris la décision d’habiter seul pendant un certain temps. Je n’avais pas le goût de répéter ça maintenant. Ça ne veut pas dire de ne pas me faire des amis ou même de fréquenter quelqu’un. Par contre, je vais faire un bout de chemin et continuer de vivre en solo pour un temps. Continuer à lire … « L’importance du « me time » »

On a pas suivi la coupe du monde…

Comme on est au Québec, la victoire de coupe du monde 2018 par la France est passée sous le radar. Félicitations pour la victoire française, mais honnêtement on avait un horaire chargé ce weekend, l’Héritier et moi. Nous n’avons même pas regardé les faits saillants du match.

Finir l’aménagement

Depuis mercredi dernier, les soirées ont été chargées. Terminer l’aménagement du nouvel appartement a demandé quelques heures supplémentaires. Ça prenait quelques petits trucs à acheter, comme un panier à linge pour la lessive, un support pour le papier de toilette et un égouttoir à vaisselle. Le genre de truc qui finit par être invisible quand tu les as sous la main, mais qui devient indispensable quand tu refais un ménage en solo. J’ai aussi installé des rideaux qui avaient de l’allure. Ceux de la dame de (probablement) 80 ans qui restait là étaient défraîchis. Le coût total du réaménagement frise le 2 000$ avec l’achat des électroménagers. Le budget vacances est passé là-dedans cette année.

Invitation surprise

Une ancienne collègue de travail m’a contacté la semaine dernière pour m’inviter à leur rendre visite à leur chalet. J’ai préparé un petit pique-nique, quelques trucs pour le souper, les maillots de bain et le chasse-moustique. J’ai même pensé à du linge de rechange. Mesdames, je veux simplement vous dire qu’il est possible d’aller passer une journée à l’extérieur de la maison avec une glacière et un sac à dos (linge de rechange inclus). On a survécu!! Le seul truc que j’ai oublié en remplissant la glacière, c’est un dessert.

Nos hôtes nous ont vraiment bien reçus. J’étais content de renouer avec mon ancienne collègue de travail. Nous nous sommes toujours bien entendu. Son conjoint a beaucoup impressionné Zack. Il m’en a parlé pendant deux jours après la visite de samedi. Des amis de France de nos hôtes, récemment installés au Québec, étaient aussi de la partie avec nous. Le truc que j’ai apprécié c’est que tout ce beau monde vit en famille recomposée. J’ai pu observer une dynamique plaisante et je pense que les enfants y trouvent leur compte après tout. Certains sont moins chanceux que moi. Avoir des enfants outremer est probablement difficile. Les occasions de se voir sont rares. Je lève mon chapeau à ceux qui vivent ce genre de situation.

Au menu de cette journée, on s’est baigné dans le lac, pêché, capturé des grenouilles, éviscéré des poissons, fait la cuisine sur la grille, bûché du bois, fais du quatre roues et on a bouffé comme des rois. Ça a valu le 5 heures de route (aller-retour) pour se rendre dans Lanaudière. Les mouches à chevreuil sont voraces, mais un beau coup de chasse-moustique et le tour est joué.

StGab-collage

 

Motocross et estime de soi

Ma collègue et ma patronne sont deux mordues de motocross. Elles en parlent tout le temps. Le circuit Franklin Motosport est à 8 minutes de voiture de la maison. Ils ont une académie où il est possible de faire l’initiation et du perfectionnement. Avec la location de la moto, l’équipement et une heure de cours avec un instructeur privé m’a coûté 60$. Ma collègue s’est offerte pour être l’instructrice de l’Héritier. Il a ADORÉÉÉÉÉ! Les premiers tours de roue se sont faits en sa compagnie. Il a appris à garder son équilibre, accélérer et freiner. Il a aussi appris à tomber. Après son heure de cours, il affichait une confiance en lui incroyable. Les étoiles dans ses yeux valaient 1 000$. Je ne pensais lui redonner confiance en lui aussi vite en le faisant participer à ce nouveau sport. Par contre, j’anticipe la facture si jamais il veut continuer plus tard.

motocross

Planification de voyage

L’été file à vitesse grand V et l’hiver va passer vite. Avec les amis de mon ancienne collègue de travail on a discuté de destinations possibles en France. Lyon semble intéressant à aller visiter. Le sud de la France semble aussi une partie du monde à aller voir. Par contre, j’avoue que l’option de l’Espagne près de la frontière française est aussi intéressante. Le coût de la vie est moins dispendieux en Espagne apparemment. Je jongle…

Vivre en solo

Il y a quelques mois, je n’aurais même pas songé à vivre seul un jour. C’est maintenant ma nouvelle réalité et je pense que je vais m’y plaire pour un certain temps. Continuer à lire … « Vivre en solo »

Complet et « Converse »

Le deuil d’une rupture amoureuse est une des choses les plus difficiles à faire. Je ne me rappelle pas avoir eu à faire face à une situation aussi douloureuse au cours de ma vie. J’en ai vécu une seule. Une vraie foutue peine d’amour. De plus, j’avoue l’avoir très mal gérée.

Continuer à lire … « Complet et « Converse » »

On prépare les vacances… et le long weekend

Le temps me manque un peu

L’été est arrivé… Ça signifie que je joue dehors pour les prochaines semaines. Je vais essayer de publier un peu de matériel, mais ça risque d’être un peu plus compliqué. Pour les prochaines périodes de vacances (Noël et été) j’essaierai d’avoir un peu de matériel à l’avance. Malheureusement, de ce temps-ci, je cours après mes minutes. J’apprends tranquillement les rudiments du blogging. Une leçon de plus.

Des suggestions pour le long weekend?

Le long weekend de la fête nationale a été un peu plus difficile sur le corps que les autres des années précédentes. Socialiser, ça fatigue un peu aussi. :-). La fête du Canada devrait être un peu plus tranquille. Pour le long weekend on va sûrement se rendre à la plage pour passer un peu de bon temps (pique-nique et soleil). Avez-vous des suggestions de destination pour le weekend? N’hésitez pas à les mettre en commentaires. On va possiblement trouver une place tranquille (Howick, Havelock, …) pour aller regarder un feu d’artifice avec l’Héritier.

On a 4 ou 5 jours de camping père-fils prévus avec l’Héritier durant les vacances en août. Une grosse semaine à se reconnecter avant le début des classes.

Ukulélé suite… et fin

J’ai pris le temps d’assembler le kit de ukulélé il y a deux semaines. Le tout m’a pris environ 30/45 minutes. J’ai malheureusement oublié de prendre des photos des premières étapes de collage. Donc, vous avez des photos à partir du moment où la caisse de résonance était assemblée et le manche fixé. Ça se fait avec de la colle à bois et maintien de pression pendant 5 minutes. Super facile et pas besoin d’outils autre qu’un tournevis étoile, une petite serre à bois (optionnelle, vos mains sont suffisante) et bloc à sabler. J’ai appliqué une couche de teinture/vernis pour protéger le bois et j’ai installé les cordes le lendemain pour m’assurer que tout était bien collé avant de mettre de la tension sur le manche. Le tout sonne bien. Mon oreille n’étant pas très développé j’ai téléchargé une application pour l’accorder correctement.

Je vais probablement prendre quelques heures de cours pour l’Héritier dans les jours qui vont suivre chez Labelle Musique histoire de tester véritablement son intérêt musical.

Voici quelques photos des étapes de montage:

http://www.wolfelele.com/

 

 

Lettre à mon fils

Fiston,

Avec la fête des Pères qui vient de se terminer et qui rebrasse le passé que toi et moi avons aimé, j’ai décidé de te faire un cadeau d’avance et de partager avec toi ces quelques lignes qui pourront s’avérer utiles en temps opportun. Je te regarde grandir à vitesse « grand V » depuis 8 ans, et déjà, je me reconnais tellement en toi. Tu as un cœur gros comme l’univers, tu veux réussir tout ce que tu entreprends et tu souhaites, par-dessus tout, plaire aux autres. Ce sont de belles qualités et je t’encourage à les cultiver.  Continuer à lire … « Lettre à mon fils »

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